Greenpeace s’attaque à l'EPR de Flamanville

Publié le par Michel Verna

 

Une trentaine de militants de Greenpeace ont réussi à bloquer, dans la Manche, pendant quelques heures, l'accès au chantier de construction du futur réacteur nucléaire de troisième génération EPR, à Flamanville.Les militants de Greenpeace ont arrêté le chantier de construction de la centrale nucléaire de type EPR, sur le site de Flamanville.

 

Seize militants de Greenpeace s’étaient enchaînés à deux camions qui eux mêmes étaient fixés au sol devant le seuil du chantier de l’EPR (European Pressurized Water Reactor). Ces militants, qui venaient de plusieurs pays européens, dont la France, la Belgique, la Finlande, la Grande-Bretagne et l’Allemagne, ont ensuite été interpellés par la gendarmerie.

Selon le chargé de la campagne nucléaire de Greenpeace France, Yannick Rousselet, il resterait quatre militants sur les grilles et neuf dans les grues, qui seront beacoup plus difficiles à déloger car ils sont à environ 35 mètres de hauteur. Cette opération vise à « interpeller les candidats à l'élection présidentielle pour qu'ils s'engagent à abroger le décret de création de l'EPR ».

J’apporte mon soutien à l’action de Greepeace, une action sans dégradations et sans violences , le réacteur de 3ieme génération type EPR ne représente pas une avancée significative en matière de sécurité et de la réduction des déchets. Les récteurs actuels sont capables de tenir encore une quinzaine d’années, profitons de cet espace temps pour accélérer le développement des réacteurs de  4 eme génération  et d’ITER .

Le retrait du décret autorisant la construction de l’EPR,  les candidats du second tour doivent se prononcer, ils doivent préciser aux français si une fois élu(e) ils autoriseront  la poursuite des travaux de ce réacteur ruineux, inutile et obsolète.

 

Publié dans GE Val d' Oise

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